La Poursuite Du Rêve – Une Infirmière En Beauce 10

La poursuite du rêve – Une infirmière en Beauce 10

Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur chez HDS), racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.

Bien entendu ce texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.

Valérie et Hervé ont visité le salon de l’érotisme à Tours et en sont revenus avec leur premier gode qu’elle-même a choisi au grand étonnement de son mari. Le soir même Valérie veut l’essayer. Celui-ci semble surpris par la façon dont elle le manie, se doutant que ce n’est pas la première fois. Soit c’est avec Serge, son ancien compagnon avec lequel elle a vécu dix ans, mais elle ne veut jamais évoquer leurs rapports sexuels, soit elle a essayé à l’hôpital où elle travaille. Il se souvient de sa jeune collègue Delphine, une aide-soignante qui, d’après elle, utilise un gode et qui semble très dégourdie. Valérie en semble un peu offusquée, bien qu’elle en parle trop souvent.

Pour la première fois depuis qu'il l'a connaît, Hervé a l'impression que son épouse pourrait l'amener très loin s’il trouve des situations propices. Il sent qu'une digue vient de se rompre, y compris de son côté. Elle semble obnubilée par cette sortie polissonne, car elle en reparle sans arrêt. Elle dit en souriant à son époux qu'il faudra se mettre en tenue la prochaine fois, en parlant de vêtements sexy ! Un beau caleçon pour lui, comme le chippendale (encore lui !), et de la lingerie sexy pour elle !

Hervé, qui vient de recevoir des jetons de présence substantiels, propose à son épouse de l’emmener à Paris, dans les magasins où elle a été avec Paul, le colonel en retraite afin d’effec des achats pour faire honneur au Baron lors de la soirée au château de Castelneuf. Le couple préfère prendre le train pour ne pas être embarrassé par leur véhicule. En arrivant à la gare Montparnasse, ils n’ont que l’embarras du choix depuis la tour du même nom, les magasins de la rue de Rennes et surtout la rue du Four, près du marché Saint-Germain où les boutiques sont légions.



Valérie accepte d’essayer des jupes ultra-courtes, bien qu’elle annonce qu’en tout cas elle ne les portera pas en présence des s. Mais c’est gagné et cinq minijupes sont achetées, dont une en cuir noir, ainsi qu’un bustier de même texture, identique à celui de la femme qui se faisait tripoter par son mari au salon de l’érotisme. La poitrine de Valérie est mise en valeur et il faut peu de chose pour rendre les tétons apparents. La vendeuse qui essaie ce bustier n’hésite pas à manipuler les globes des seins de la femme mature, laquelle, troublée par cette hardiesse, se souvient alors avec émoi de la jeune masseuse asiate. Des caracos et des blouses paysannes en tissu léger s’ajoutent aux achats.

Dans un magasin de frivolités, Hervé persuade son épouse de s’équiper de soutiens-gorge et même d’un redresse seins, qui laisse ses globes apparents, puis, des culottes différentes : tangas, boxers, shorty, etc. Deux déshabillés en soie et trois nuisettes courtes en satin complètent la panoplie. Hervé a fait chauffer la carte bleue, mais c’est pour la bonne cause pense-t-il !

Malgré beaucoup d’hésitations et une certaine gêne, Valérie commence à prendre du plaisir à se faire sexy, c'est de plus en plus spontané chez elle. Hervé en profite pour lui faire acheter une bonne douzaine de bas et deux porte-jarretelles ; là aussi, en les essayant, la vendeuse qui accroche la ceinture du porte-jarretelles et enfile les bas, vient alors coincer le bas entre les deux parties de la jarretelle, en passant le bouton, sous le bas dans l’accroche, qui se trouve au-dessus du bas. Ce faisant, elle frôle l’entrecuisse à plusieurs reprises, déclenchant cette fois une moiteur qui transparaît sous la culotte de satin. La vendeuse a un petit sourire qui n’échappe pas à Valérie qui est troublée par l’inadvertance de ces attouchements. Dans une boutique San Marina, plusieurs paires d’escarpins, une paire de cuissardes en vernis noir à talons aiguilles et une en taupe à talons plats complètent les nombreux achats du jour.



Hervé a persuadé Valérie de garder la minijupe en cuir noir, des escarpins noirs et un des caracos en soie blanche qui offre un beau décolleté sur sa poitrine revêtue d’un redresse seins à balconnet blanc. Ils prennent un taxi avec leurs achats et se rendent à Saint Lazare chez Mollard déguster un somptueux plateau de fruits de mer.

Valérie réalise que de toute sa vie, elle n'a jamais été habillée aussi court, sa jupe moulante laisse même voir le début de la jarretière de ses Dim up fumés et lorsqu'elle s'assoit, c'est carrément à la lisière de sa petite culotte en dentelle blanche qu'elle remonte.

Elle ne peut pas, ne pas remarquer les yeux inquisiteurs des hommes et même des femmes qui les entourent dans ce restaurant renommé. Hervé est aux anges et son épouse s’en rend bien compte. Il y a longtemps qu’elle se doute que son mari prend plaisir à ce que le regard des autres hommes reluquent ses cuisses et même ses seins. Pourtant c’est la première fois qu’elle porte un décolleté aussi provocateur. Elle voit bien les garçons qui viennent les servir, leur regard plonge dans son corsage pour mater ses seins entièrement découverts par le soutien-gorge qui laisse ses seins à nu.

Étrangement, malgré le malaise qui est en elle, elle éprouve aussi un certain émoi. Ses tétons sont durs et douloureux, elle sent la moiteur de son entrejambe et bientôt elle sait qu’elle est toute mouillée. Sa jupe est en cuir ne peut pas être tachée, mais elle a peur de laisser des traces sur la chaise recouverte de moleskine. Surtout qu’en plus, elle a bu presque une moitié de la bouteille de Gewurtzraminer qu’Hervé a commandé. Ce vin sucré et fruité s’est révélé excellent pour accompagner leur repas, mais cela a quelque peu enivré notre belle mature.

Aussi, son mari n’a aucun mal à la persuader d’aller acheter deux ou trois accessoires dans un sex-shop de la rue de la Gaité avant de reprendre leur train à la gare Montparnasse tout près.
Un taxi les dépose en quelques minutes. Il y a de nombreux sex-shop dans cette rue, animée aussi par les théâtres et les restaurants. Le couple se confond dans la foule et lorsqu’Hervé pousse un rideau rouge devant la porte d’un magasin aux vitres fumées, ils se retrouvent à l’intérieur d’un seul coup.

Les premiers rayons qui s’offrent à la vue de Valérie, regorgent de godes et vibromasseurs de toutes sortes et de toutes dimensions, de boules de geishas et d’œufs vibrants. Dans un recoin, des poupées gonflables très réalistes, des tenues féminines affriolantes ainsi que tous les accessoires de BDSM inimaginables. Les rayons en profondeur contiennent des DVD de films pornographique, ainsi que la littérature et des BD sur le même sujet.

C’est un choc pour elle, car c’est beaucoup plus important que ce qu’elle a vu au salon de l’érotisme où tout était dispersé. Elle a beaucoup de mal à se sentir à l’aise dans cet endroit un peu glauque où trois ou quatre hommes la reluquent sans vergogne. Une seule femme à un comptoir qui sert de caisse, c’est une rousse flamboyante outrageusement maquillée avec un corsage imitation panthère. Ses gros nichons apparents sous un tissu transparent, ne sont pas pour rassurer Valérie. Elle fait vraiment trop putain.

Hervé a bien senti que son épouse est affolée par cette ambiance, il s’empresse de lui faire approcher les rayons et ils choisissent ensemble, un gode très réaliste dans une matière souple et plus important que celui acheté au salon de l’érotisme. Hervé choisit un Womanizer W500 , un vibromasseur suisse très efficace pour stimuler le clitoris et un gode gonflable par une poire pour élargir l’entrée du vagin (bien entendu, il pense pour cela au fist fucking qu’il projette, sans en avertir son épouse). Malgré les protestations de Valérie, il jette son dévolu sur des boules de geisha et sur un œuf vibrant avec une télécommande sans fil.

À la caisse, une fois les achats réglés, Hervé demande à la vendeuse si elle peut ouvrir la boite en plexi des boules de geisha et avoir l’amabilité de les nettoyer, afin que sa femme puisse se les introduire dans le vagin.
Valérie est rouge de honte, elle est statufiée, sans oser protester. La rousse s’absente pour effec la demande du client. Lorsqu’elle revient, elle invite la cliente à venir derrière son comptoir et sans hésiter, elle lève la jupe, baisse la culotte et enfile les trois boules, qui n’ont aucun mal à glisser entre les grandes lèvres de la fente vulvaire.

La vendeuse rousse ne peut s’empêcher de dire à haute voix à l’attention d’Hervé :

• Vot’ Dame, elle dégouline tellement, quelles vont avoir du mal à ne pas ressortir toutes seules. Elle a intérêt à garder ses cuisses serrées.

Valérie est morte de honte en sortant du magasin et c’est à tout petits pas, qu’elle se rend à la gare en compagnie de son mari. Heureusement ce n’est pas très loin et comme le train pour Chartres est à quai, elle s’affale sur la banquette du wagon, heureuse que les trépidations de la marche qui la faisaient jouir en permanence aient cessé. Le plaisir ressenti devenait insupportable. Pourtant, elle n’en veut pas à son coquin de mari et elle se love contre lui.

• Tu exagères – si tu savais dans quel état tu m’a mise – la poufiasse du magasin avait raison, je dégouline littéralement. Ces boules sont de véritables diablesses, elles m’excitent et me donnent envie de te violer, là, tout de suite !

• Chiche !

D’un seul coup la tension retombe. Deux jeunes étudiants viennent d’entrer dans le wagon et s’installent sur la banquette en face d’eux. Il est à remarquer que dans un endroit presque vide, de nouveaux arrivants qui pourraient s’installer n’importe où, choisissent de venir s’agglutiner près des seuls occupants déjà là.

Les deux lycéens sont certainement en terminale, car l’un a déjà une barbe naissante. Ils devisent de leurs cours tout en lorgnant sous la jupe courte de leur voisine. Un bout de dentelle de la culotte blanche apparaît et Valérie ne fait rien pour refermer le compas de ses cuisses, largement ouvert. Elle a le feu dans les entrailles car au moindre mouvement, les boules entrent en action. Les yeux scrutateurs des deux garçons voient la tache d’humidité qui s’élargit sur le tissu immaculé et les jambes qui tremblent. Valérie n’en peut plus, elle enfouit sa main dans la fourche de ses cuisses et frotte jusqu’à l’explosion de sa jouissance. Elle s’affale contre son mari, épuisée et morte de honte.

Les deux étudiants, rouges d’excitation restent ébahis d’avoir assisté à cette scène. Surtout que le mari qui entoure sa femme de ses bras, leur fait un clin d’œil complice, apparemment ravi de ce qui vient de se passer…

À suivre

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